

02. Journal Of Ardency
03. Let Me Take You Out
04. Adolescent Heart
05. Someone Real
Cet EP s'ouvre sur "Careful What You Say", un petit condensé de pulsation synthétique pouvant éventuellement rappeler Katsen voire Crystal Castles. Mais Elizabeth Harper prend vite le dessus pour dévoiler un hybride de pop à l'aspect romantique s'aventurant quand même dans une forme d'indie moite : comme il se doit, elle s'en prend à son (ex) petit ami en lui déclarant "Careful what you say, oh dear, it's too late now, you've broken my heart". Le tout avec sincérité. Vient ensuite la chanson-titre, "Journal Of Ardency" : entre mélodie cotonneuse et des synthés tantôt furtifs tantôt plus bruts qui constituent vraiment le coeur de ce titre mystérieux, on ne peut qu'être envouté par la voix langoureuse d'Elizabeth. D'ailleurs, la vidéo accompagnant "Journal Of Ardency", bien que simple, est tout aussi intrigante (un peu dans le mauvais sens aussi) où la chanteuse met en scène son physique :
"Let Me Take You Out" est la seule piste de cet EP à avoir mis en avant des guitares, ce qui lui confère un côté peu plus coloré que les autres morceaux. Il en ressort un titre de la mouvance indie-rock dynamique qui se démarque (trop?) du reste de cet EP. "Adolescent Heart" se rapproche d'un midtempo dans laquelle Class Actress explore les maux auxquels sont confrontés les adolescents à savoir l'amour. La voix aérienne d'Elizabeth Haprer se ballade nonchalamment à travers une mélodie vaporeuse, un brin électronique.
"Someone Real", le dernier titre, reprend un peu les mêmes éléments que les deux premiers morceaux : ici, les synthés sont insaisissables et la mélodie se met progressivement en place. La force de cette chanson est la partie instrumentale de plus de 2 minutes à la fin où se mélangent dans une symphonie de rafales synthétiques, faisant ainsi office de fin.
Je vous laisse aussi découvrir la vidéo d'"Adolescent Heart" où Elizabeth s'est transformée en
adolescente naïve :
Class Actress : Myspace"Someone Real", le dernier titre, reprend un peu les mêmes éléments que les deux premiers morceaux : ici, les synthés sont insaisissables et la mélodie se met progressivement en place. La force de cette chanson est la partie instrumentale de plus de 2 minutes à la fin où se mélangent dans une symphonie de rafales synthétiques, faisant ainsi office de fin.
Je vous laisse aussi découvrir la vidéo d'"Adolescent Heart" où Elizabeth s'est transformée en
adolescente naïve :
| CD
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire